Le mot du présidentNous devons :
Notre modèle est innovant , fonctionne mais est fragile. Il représente une sécurité pour les jeunes arrivants qui travaillent en équipe. Ils ne s’occupent d’aucune gestion administrative et passent au moins 20 minutes avec chaque patient. Nous sommes à l’équilibre financier sans aucun engagement aujourd’hui des collectivités . Si nous voulons garder nos jeunes médecins il nous faut augmenter les rémunérations donc créer un léger déficit qui devra être supporté par les collectivités . Ce coût sera dérisoire par rapport au service essentiel apporté à la population. Que serait le bassin en terme de santé sans le CSBT aujourd’hui ? |